Le terme VIAGER vient de «viage» qui signifie «cours de vie» en vieux français. Déjà utilisée au Moyen-Âge, la vente en viager a été introduite dès l’origine du code civil de 1804. La solution viagère répond de nouveau aux enjeux socio-économiques actuels. Le nombre de ventes en viager immobilier augmente chaque année ; c’est une solution transgénérationnelle qui répond aux besoins des séniors et aux aspirations des plus jeunes.
Le saviez-vous ? Des personnalités comme Charles de Gaulle, Valéry Giscard d’Estaing ou François Hollande ont profité de la solution viagère.
La vente en viager est un contrat immobilier qui va
mettre en relation un vendeur et un acheteur.
Le vendeur (Crédirentier) anticipe le financement de sa retraite par la vente viagère. Il va récupérer un capital immobilisé pour en profiter et s’assurer un revenu complémentaire à vie, tout en gardant la possibilité de rester chez lui, dans le cas d’un viager occupé.
L'acheteur (Débirentier) se crée un patrimoine. Il va faire un investissement rentable, socialement engagé et éviter la pression fiscale sans revenus fonciers.
Le principe du viager est simple, le
Débirentier (acquéreur) verse
au Crédirentier (vendeur) un
Bouquet lors de la signature de l’acte
authentique et
une rente à vie. Les
modalités de calcul de la valeur du bouquet et de
celle des rentes dépendent de la
valeur vénale du bien immobilier,
mais aussi des projets et de l’âge
des vendeurs.
La vente en viager repose sur une notion
essentielle qu’est l’aléa : sans aléa, celle-ci peut être frappée de
nullité.
L’expert viageriste Viager Conseils est là pour proposer une solution individualisée et veiller à la sérénité des deux parties par la transcription des clauses légales nécessaires à l’acte notarié.
Parce que chaque histoire est unique, il n’y a pas deux solutions
viagères identiques :
En viager libre ou occupé, en vente à terme libre ou occupée à chaque situation sa solution !
L’équilibre financier du viager dépend en premier lieu
de la valeur vénale libre du bien à vendre.
Le
type de vente retenu pour répondre aux besoins et projets du
vendeur déterminera ensuite s’il y a lieu de calculer la valeur
d’un droit d’usage et d’habitation.
Le calcul du
droit d’usage et d’habitation est dépendant de l’espérance de vie
statistique du ou des vendeurs au moment de la mise en vente.
La
vente en viager résultant d’un accord gré à gré, il faut ensuite que les
parties décident du versement ou non d’un capital et de
son montant.
Le reste à payer sera converti en
rente viagère.